Etude de "MON REVE FAMILIER" Hugo C.

Poème de quatre stophes dont deux de quatre vers et deux de trois vers. Les vers sont des alexandrins et sont en rimes embrassées. Le poète est le narrateur il évoque une femme qu'il imagine souvent dans ses rêves. Cette femme lui est, à la fois, inconnue et très intime. Elle seule peut soulager ses douleurs et le comprendre. Touten elle l'apaise, sa voix, son regard, son nom et même ses pleurs.

Le champs lexical est celui du bien être, de l'apaisement. Dans les deux dernières strophes il fait référence à des êtres disparus : "comme ceux des aimés que la Vie exila", "l'inflexion des voix chères qui se sont tues.".

Nous pouvons imaginer que cette femme aimée pourrait être sa mère et que face à elle il redevient un enfant. Ce poème s'inscrit dans le mouvement romantique du XIXeme siècle par la descreption du personnage qui exprime la douleur du rêve et la mélancolie du passé.

Hugo C.